jeudi 29 décembre 2011

Qu'est ce que le CMMi ?

Le CMMI (Capability Maturity Model Integration) est une approche interdisciplinaire d'ingénierie des systèmes couvrant les compétences et processus techniques et managériaux permettant de transformer des besoins utilisateurs en un produit technique. C'est donc essentiellement un modèle de développement et de maintenance des systèmes et des applications informatiques. 
Il a été conçu dès 1987, à partir des meilleures pratiques du logiciel, par le SEI (Software Engineering Institute) et des représentants de l'industrie du logiciel.
Pourquoi CMMI concerne et intéresse toutes
les organisations IT ?
Au cœur de la stratégie business de la plupart des entreprises, l'IT doit démontrer son efficacité et sa capacité à s'inscrire dans la stratégie et l'avenir (meilleur rapport qualité prix, apport de valeur ajoutée, préservation des investissements). L'évaluation des entreprises couvre de plus en plus de domaines : financier, social, développement durable et aussi le domaine IT. CMMI s'impose comme un référentiel d'évaluation international.
CMMI répond à plusieurs problématiques des DSI :
  • Réduire les coûts de développement à qualité égale
  • Augmenter la qualité des produits logiciels sans augmenter les coûts
  • Anticiper le coût réel des projets
  • Intégrer des sous-traitants dans les processus logiciels (externalisation, off-shore, …)
  • Comparer sa performance avec celles des autres (communication DG, …), justifier les budgets d'amélioration
CMMI intéresse toutes les organisations IT (DSI, SSII) au sein de tous les métiers (industries, tertiaires).
CMMI est un référentiel professionnel destiné exclusivement aux métiers de l'ingénierie IT (projets et maintenance), avec une approche intégrant la conduite du changement dans sa démarche, en valorisant les équipes et les savoir-faire existants.
CMMI tend aussi à devenir un critère de sélection des fournisseurs par les grands donneurs d'ordre (automobile, Services financiers, Télécom,….).
En résumé, il faut s'intéresser au CMMI pour :
  • Proposer aux décideurs IT un levier de progrès
  • Les préparer au benchmarking des organisations
  • Structurer la relation avec les clients et les sous-traitants
  • Communiquer auprès des DG
  • Faire progresser les équipes informatiques " projet " et " maintenance " dans un cadre éprouvé
Quelle est l'approche CMMI ?
Source: fr.capgemini.com

Les entreprises qui souhaitent se lancer dans cette nouvelle démarche, doivent pour se situer sur une échelle de maturité, réaliser une évaluation.
CMMI définit 5 niveaux de maturité :
  • Niveau 1 : Initial, l'efficacité repose sur les compétences et la motivation des individus
  • Niveau 2 : Piloté, principaux processus de gestion de projets définis et appliqués, développement de logiciels planifiés
  • Niveau 3 : Standardisé, définition des processus étendue à l'ensemble de l'entreprise, processus améliorés
  • Niveau 4 : Quantifié, application systématique de mesure de processus
  • Niveau 5 : Optimisé, optimisation des processus, mise en place des processus permettant l'amélioration continue, maîtrise du changement
25 processus permettant une évaluation globale de la maturité d'une organisation, sont répartis en quatre types : Process Management, Project Management, Engineering et Support. L'évaluation SCAMPI a 3 objectifs :
  • Evaluer les pratiques en cours sur les projets
  • Déterminer les sujets prioritaires
  • Obtenir le soutien organisationnel nécessaire pour améliorer le processus

dimanche 25 décembre 2011

Comprendre le référentiel CMMi (Capability Maturity Model Integration)

Dans le cadre de développement de la compétitivité des entreprises Tunisiennes, le Pôle Elgazala a accompagné plus de dix SSII à la mise en place des bonnes pratiques du Modèle CMMi en collaboration avec le programme de modernisation industriel qui intervient au niveau de la gestion des experts internationaux qui interviendront au sein des entreprises et animent les sessions de formation pour les consultants des centres techniques Tunisiennes et, en particulier, pour le compte du Pôle Elagazala à partir de décembre 2006.

Les experts du programme PMI en deux missions de base :
1- l'accompagnement des entreprises à la mise en place des bonnes pratiques du modèle CMMi
2- le coaching des consultants du Pôle qui m'a permis d'en profiter d'avantage de leurs supports et interventions au sein des entreprises.

Et suite à ce programme, le PCAM va commencer le travail en début 2012.

Voici le lien de téléchargement du référentiel CMMi : http://www.sei.cmu.edu/library/assets/cmmi-dev-v12-fr.pd

lundi 24 octobre 2011

Sensibilisation à la qualité


  1.   Pourquoi sensibiliser à la qualité ?


La démarche qualité est avant tout une aventure collective. Son succès, on le sait, est d'abord basé sur un engagement ferme et sans réserves de la direction. Mais sans la participation active de chaque personnel, tout projet qualité se limiterait à une déclaration d'intention ne changeant en rien le fonctionnement de l'organisme.
Le texte de la norme ISO 9001 insiste sur le fait que "le personnel doivent avoir conscience de la pertinence et de l'importance de leurs activités et de la manière dont ils contribuent à la réalisation des objectifs qualité."
L'accent est mis ainsi sur la nécessité de faire comprendre, avant de faire adhérer afin de faire contribuer. Pour cela, commençons par faire savoir.

  2.Quel doit être le contenu d'une séance de sensibilisation ?
La définition du contenu n'est pas standard, elle ne peut se faire qu'après avoir identifiée :
  • le public visé



  • les objectifs de la séance

 Concernant l'auditoire, il y a lieu de tenir compte :
- de la maturité de l'organisme en matière de management de la qualité (historique de la démarche)
- de la composition du groupe : homogène (même service ou même niveau hiérarchique) ou hétérogène
- de la présence de nouveaux arrivants
 Pour ma part, je préconise de réaliser les séances de sensibilisation par groupe d'une dizaine de personnes réunissant des personnels appartenant à des services ou processus différents ainsi qu'à des niveaux hiérarchiques différents. Cette composition du groupe présente l'avantage de décloisonner l'entreprise et de mettre face à face des personnes qui œuvrent au sein de processus liés entre eux et qui n'ont pas l'occasion de se rencontrer dans leur activité quotidienne. Le même message est ainsi délivré pour tous.
 Les objectifs de la séance ne devront pas être trop ambitieux. Comme tout objectif, ils seront explicites, réalistes et mesurables.
Les objectifs que je propose pour une première séance sont les suivants :
1. que chaque participant puisse situer sa propre contribution au sein du système de management.
2. que chacun participant puisse davantage situer la contribution des autres au sein du système de management.
3. que chaque participant puisse exprimer les objectifs qui sont attribués à son processus 
Nota : Le premier objectif (présent dans l'exigence de la norme) est axé sur la plus value personnelle et le second sur la plus value des autres. A mon sens il est essentiel que chacun perçoivent bien l'importance de l'action collective et de l'effet de synergie nécessaire au succès de l'organisme.

3.  Le contenu et le déroulement de la séance

 Il faut tout d'abord adressé une invitation (plutôt qu'une convocation) à cette séance en rappelant les objectifs généraux de la démarche qualité et l'importance de l'implication de tous les personnels pour la réussite. Une durée d'environ deux heures semble bien adaptée.
 Après un accueil convivial autour d'un café par exemple, la séance débute par un tour de table où chacun se présente brièvement.
 L'animateur (qui est souvent le responsable qualité) se présente à son tour et propose les objectifs de la séance (voir ci dessus) ainsi que le déroulement prévu. Il peut être judicieux de faire intervenir le directeur de l'organisme à ce moment là qui viendra réaffirmer son engagement dans cette démarche.
Le déroulement peut être le suivant :
- exposé sommaire et interactif sur les notions de client, processus, amélioration, etc. sans forcement polariser sur le mot qualité qui est parfois ambiguë et synonyme de lourdeur dans certains esprits.
 Par exemple le processus pourra être expliqué à travers un exemple simple et compréhensible par tous comme la fabrication du pain. L'animateur fera en sorte que les participants formulent eux mêmes les principales caractéristiques du processus. (Il ne s'agit pas à ce stade d'être exhaustif sur les caractéristiques d'un processus, les notions de management et d'efficacité pourront être présentées un peu plus tard)

- après la découverte de ces notions de base, il y a lieu d'en venir au système de management en place au sein de l'organisme. C'est à ce moment là que la participation de tous est nécessaire afin que chacun se positionne et témoigne devant les autres du rôle qu'il joue dans un processus. L'animateur pourra utilement reformuler les propos de manière à bien souligner l'importance des activités réalisées. Cette partie là peut s'effectuer à l'aide des cartographies de processus et des extraits significatifs du manuel qualité. Outre l'utilisation de powerpoint, un exemplaire papier du manuel qualité peut être distribué à chaque participant.
- enfin, il faut expliquer que tous ces processus sont orientés par l'intermédiaire d'une politique et d'objectifs et que l'atteinte de ces objectifs sera mesurée de manière à corriger sans cesse la trajectoire.
Nota : ne pas hésiter à utiliser des analogies comme celle du voilier avec son cap, son système de mesure de position, son gouvernail et ses voiles pour corriger la trajectoire.

Dans tous les cas, cette sensibilisation devra être adaptée à la culture et à la spécificité de l'organisme.

4.  Comment évaluer l'efficacité des actions de sensibilisation ?

 En fin de séance l'animateur peut procéder à l'évaluation de l'atteinte des objectifs de la séance à main levée. Les participants estimant ne pas avoir atteint un des objectifs sont invités à s'exprimer.
 Par ailleurs, un tour de table complet permettra à chaque membre du groupe de formuler ses remarques ou suggestions aussi bien sur la séance elle même que sur le bien fondé du système de management.
 L'animateur devra prendre quelques notes de manière à réaliser un compte rendu de la séance comportant par exemple :
- le taux de participation (ratio des personnes présentes/personnes invitées)
- le taux d'atteinte des objectifs de la séance
- un récapitulatif des remarques, suggestions, attentes formulées à l'occasion de ces séances.
 
 Le compte rendu global des séances de sensibilisation pourra figurer en éléments d'entrée de la prochaine revue de direction, afin d'envisager d'autres actions appropriées qui vont dans le sens de la mobilisation de tous.
 Une enquête de satisfaction menée auprès du personnel peut également être l'occasion d'apprécier l'impact de ces séances.



vendredi 23 septembre 2011

Quel doit être le contenu d'une séance de sensibilisation ?


La définition du contenu n'est pas standard, elle ne peut se faire qu'après avoir identifiée :


  • le public visé

  • les objectifs de la séance


 Concernant l'auditoire, il y a lieu de tenir compte :
- de la maturité de l'organisme en matière de management de la qualité (historique de la démarche)
- de la composition du groupe : homogène (même service ou même niveau hiérarchique) ou hétérogène
- de la présence de nouveaux arrivants
 Pour ma part, je préconise de réaliser les séances de sensibilisation par groupe d'une dizaine de personnes réunissant des personnels appartenant à des services ou processus différents ainsi qu'à des niveaux hiérarchiques différents. Cette composition du groupe présente l'avantage de décloisonner l'entreprise et de mettre face à face des personnes qui œuvrent au sein de processus liés entre eux et qui n'ont pas l'occasion de se rencontrer dans leur activité quotidienne. Le même message est ainsi délivré pour tous.
 Les objectifs de la séance ne devront pas être trop ambitieux. Comme tout objectif, ils seront explicites, réalistes et mesurables.
Les objectifs que je propose pour une première séance sont les suivants :
1. que chaque participant puisse situer sa propre contribution au sein du système de management.
2. que chacun participant puisse davantage situer la contribution des autres au sein du système de management.
3. que chaque participant puisse exprimer les objectifs qui sont attribués à son processus 
Nota : Le premier objectif (présent dans l'exigence de la norme) est axé sur la plus value personnelle et le second sur la plus value des autres. A mon sens il est essentiel que chacun perçoivent bien l'importance de l'action collective et de l'effet de synergie nécessaire au succès de l'organisme.

samedi 10 septembre 2011

Méthode de résolution de problèmes


Méthode de résolution de problèmes

Résoudre un problème au moyen de la méthode que nous présentons permet de faire le plus souvent bien du premier coup, encore faut-il avancer avec rigueur dans les étapes !
Certains outils étant d'une utilisation un peu rébarbative, l'animateur doit rappeler fréquemment leurs avantages.
Il faut également que les séances ne soient pas trop longues (pas de séance de 18 à 21 h !) et que les dérives soient systématiquement évitées (si de bonnes idées sont émises, les garder de côté mais ne pas épiloguer).
De plus, afin d’avoir une bonne vision sur le déroulement de la méthode, il est utile de remplir une fiche suiveuse.
Enfin, il ne faut jamais oublier que la priorité est de résoudre des problèmes, pas d'utiliser des outils. Il faut donc systématiquement vérifier leur pertinence et ne pas se laisser entraîner par eux : il faut toujours subordonner les outils au bon sens.
  Phase 0
Choisir un sujet
Lorsque le nombre de sujets à traiter est trop important, il est nécessaire de les trier afin de ne garder que celui (ou ceux) qui doi(ven)t être résolu(s) en priorité.
Les étapes pour choisir un sujet sont les suivantes :
 Etape 1 : Rechercher des sujets
Outil : brainstorming
Afin de n'oublier aucun sujet, il est nécessaire de lister l’ensemble des thèmes possibles. On posera donc une question du type : "Quel sujet souhaitez-vous voir aborder ?" ou "Quel problème souhaitez-vous traiter ?" ou encore "Lister les problèmes auxquels vous êtes confrontés".
La liste des sujets étant complète, il reste à trier ceux-ci pour ne garder que les plus intéressants.
 Etape 2 : Classer les sujets
Outil : matrice de compatibilité
Les critères sont définis (par exemple : ensemble du groupe concerné par le sujet, sujet apportant une amélioration immédiate, sujet pertinent pour l’atelier).
La matrice est complétée, on obtient un classement. Il suffit de commencer par traiter le premier sujet. Mais seulement lorsque le groupe a confirmé son accord : il faut toujours subordonner les outils au bon sens !
Lorsque le sujet est choisi, on peut passer à une nouvelle phase.
Phase 1
Poser le problème
On dit souvent qu’un problème bien posé est déjà à moitié résolu. Il est vrai que cette phase est particulièrement importante. C’est à ce moment en effet que l’on se met d’accord sur la définition et l’étendue du problème : on vérifie que tout le monde parle de la même chose !
 Outil : QQOQCP
On répond à l’ensemble des questions du QQOQCP de manière très précise :
Qui est concerné par le problème ?
Quoi est affecté par le problème ?
est-il visible ?
Quand est-il visible ?
Comment se manifeste-t-il ?
On évalue en plus quelles sont les conséquences du problème en :
http://qualite.velay.greta.fr/images/puce_orange.gifTemps
http://qualite.velay.greta.fr/images/puce_orange.gifArgent
http://qualite.velay.greta.fr/images/puce_orange.gifDéchets, rebuts
http://qualite.velay.greta.fr/images/puce_orange.gifRetards
http://qualite.velay.greta.fr/images/puce_orange.gifEtc.
Lorsque le problème est bien posé et formulé de façon satisfaisante, on peut passer à la phase suivante 2.
NB : l’animateur doit à cette étape s’assurer qu’il n’y a aucune ambiguïté à l’intérieur du groupe.
 Phase 2
Définir la situation désirée
La situation est décrite de manière précise. Des objectifs sont formulés. Chaque objectif décrit ce que l'on verra lorsque le problème sera résolu et est mesuré à l'aide d'un indicateur.
Outil : la grille SMART
Les objectifs sont passés en revue à travers une grille SMART de façon à s'assurer de la validité de chacun d’eux.
 Phase 3
Décrire la situation existante
Outil : QQOQCP
On décrit la situation de départ de façon la plus précise possible, et dans les mêmes termes que la situation désirée. Les indicateurs sont utilisés. Leur état initial, comparé aux objectifs, montre le chemin à parcourir.

Phase 4
Rechercher les causes
Cette phase se déroule en plusieurs temps. Tout d’abord on cherche toutes les causes possibles puis on retient, après vérification, les causes les plus probables.
 Etape 1 : Rechercher toutes les causes
Outil : brainstorming
On obtient une liste des causes possibles.
 Etape 2 : Classer les causes par nature
Outil : diagramme cause-effets
Les diverses causes sont classées selon leur nature, mais toutes sont conservées (sauf bien entendu s’il apparaît à l’unanimité qu’une cause doit être éliminée). Il est à noter qu'il est possible de classer les causes au moment du brainstorming, ce qui peut faire gagner du temps.
 Etape 3 : Trier les causes
On ne retient que les causes principales, en général, de 1 à 3 par branche du diagramme cause-effets.
 Etape 4 : Valider les causes
Outil : test / enquête / QQOQCP / feuille de relevé
On cherche à cette étape à s’assurer que les causes choisies sont effectivement à conserver. On cherche donc à caractériser, à mesurer, on demande l’avis des intéressés, on simule, ...
Cette étape est très importante car elle permet de dégager les causes réelles du problème. A ce titre, elle doit être menée avec le plus grand soin.
 Etape 5 : Classer les causes
Outil : Pareto
Les causes qui ont passé l’étape précédente peuvent être considérées comme étant celles du problème. Comme on ne peut pas tout résoudre à la fois, on effectue un nouveau tri de ces causes afin de dégager celles qui ont le plus gros effet.
C’est à celles-ci que l’on s’attaquera en premier. Il convient de ne garder que 2 ou au maximum 3 causes.
L’avantage de ces sélections multiples est de ne conserver que les éléments principaux et d’évacuer les triviaux mais également de limiter le temps de traitement qui deviendrait très long sans ces tris.
Phase 5
Chercher les solutions
Il s’agit à cette phase de déterminer les solutions qui vont être apportées.
 Etape 1 : Chercher toutes les solutions
Outil : brainstorming
Chacune des étapes de cette démarche doit être réalisée mais il est évident (répétons le) qu’il s’agit de résoudre des problèmes et non pas d’utiliser une méthode. Si à un moment, la solution se présente de façon évidente, il peut être envisageable de la mettre en œuvre directement. Sans oublier toutefois de la valider ...
Choisir pour les causes les plus importantes (c’est-à-dire ayant été validées comme telles) toutes les solutions possibles, en faisant à chaque fois un mini brainstorming.
Dresser un tableau comprenant les causes et les solutions correspondantes.
 Etape 2 : Classer les solutions
Outil : matrice de compatibilité
Les critères sont définis (par exemple : coût, délai, sécurité, efficacité, faisabilité...). La matrice est complétée. Ne pas oublier certains critères impératifs tels que la faisabilité.
Avant de s’apprêter à mettre en œuvre les solutions retenues, on peut les regrouper par famille. On doit s’assurer encore une fois que rien ne choque le bon sens et notamment, que la mise en œuvre d’une solution, si elle résout un problème n’en crée pas 3 autres !
 Etape 3 : Préparer la mise en œuvre
Outil : QQOQCP
Il s’agit de définir précisément les modalités de mise en œuvre de la solution. Ne pas oublier de prévoir la mise à jour régulière du tableau de bord au moins jusqu'à la vérification des solutions.
 Etape 4 : Mettre en œuvre
Les solutions choisies sont implémentées par les responsables désignés, selon le calendrier défini.
Phase 6
Vérifier les solutions
Outil : tableau de bord
Après un temps défini, faire le point sur l’action.
Cette étape de vérification est primordiale et doit être faite au moins une fois mais une revue des solutions peut être programmée tant que l’application n’est pas acquise.
Phase 7
Standardiser
Dans tous les cas où c’est possible, mettre en œuvre la solution dans les autres services.